L'ambiance au travail était loin d'être amicale depuis quelques temps déjà.
Les silences tendus entre "collègues", l'absence d'échange de regards, les chuchotements, les petits rires moqueurs, une multitude de petits signes laissaient présager l'épisode qui allait se dérouler ce jour-là.
Dommage, il s'agissait d'une matinée fraiche et ensoleillée, un de ces débuts de journée qui rende de bonne humeur, apparemment pas pour tous.
Ce matin là donc, un sujet qui tenait à coeur tout le personnel du bureau refit surface et la tempête se détacha.
Comme à l'accoutumée et après quelques minutes d'introduction, une partie de "l´'équipe", composée de trois femmes, commença à s'emporter et à proliférer des propos absurdes, à essayer de manipuler ses collègues afin de parvenir à ses fins égoistes. D'habitude, ces derniers se pliaient à la volonté de ces trois affreuses vilaines afin d'eviter des conflits gênants et stupides, cependant cette fois-ci, un des présents se lança à dire qu'elles n'étaient pas les seules à avoir le droit d'opiner.
Cette seule, innocente et juste phrase fut le détonateur d'un des moments les plus grotesques vécus dernièrement dans cet endroit.
Le visage de l'une des trois femmes, dorénavant appelée "sorcière", commença à gonfler, à devenir rouge de colère, ses yeux désorbités cessèrent de cligner et la haine jaillit de sa bouche.
Elle démontra, ipso facto, une sorte d'allergie à ne pas parvenir à soumettre les autres à sa volonté.
Pris un peu de cours au début, notre naïf protagoniste souffrit une petite crise de fou rire qui ne fit qu'accroître la rage envenimée de la sorcière et de ses deux compagnes.
Ah, un peu d'action au bureau ne fait de mal à personne.
Ann
Photos: Alex Esteban
Cette seule, innocente et juste phrase fut le détonateur d'un des moments les plus grotesques vécus dernièrement dans cet endroit.
Le visage de l'une des trois femmes, dorénavant appelée "sorcière", commença à gonfler, à devenir rouge de colère, ses yeux désorbités cessèrent de cligner et la haine jaillit de sa bouche.
Elle démontra, ipso facto, une sorte d'allergie à ne pas parvenir à soumettre les autres à sa volonté.
Pris un peu de cours au début, notre naïf protagoniste souffrit une petite crise de fou rire qui ne fit qu'accroître la rage envenimée de la sorcière et de ses deux compagnes.
Ah, un peu d'action au bureau ne fait de mal à personne.
Ann
Photos: Alex Esteban
Vaya vaya!
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